En réponse à :
16 juillet 2003
Sans trop s’attarder sur la partie de Ping-pong cordiale entre Mondher Sfar et Ahmed Smiai, drapée dans un torrent de tartuferie, de Si, de cher compatriote, de frère dans l’humanité, dont seule la politique tunisienne a les secrets, on observe dans la lettre ouverte de Mondher Sfar une élucubration sfarienne de plus : Si il y a encore des prisonniers politiques en Tunisie c’est parce que les tunisiens de l’intérieur et de l’extérieur ont boycotté son appel au boycott du tourisme.
Aussi, On dirait (...)