En réponse à :
30 mars 2005, par Farhat
Soutien aux familles de Zarzis
Le désert sans poètes
De mon pays ils se sont emparés
Un régime sans âme est instauré
A prétendu que mon peuple est arriéré
Le chemin de la modernité il va lui montrer
Mon pays, qu’il était beau avec son sable doré
Les vacances, c’était le bonheur quand on jouait dans la forêt
On était pauvre mais qu’elles étaient belles nos soirées
Les enfants et leur fête étaient sacrés
Le dictateur par ses savants entouré
A décidé que les enfants, il va s’en occuper la (...)