Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Sommaire :
Partie arabe : (Al Quds Al Arabi, Al Jazeera ) :
Washington de notre correspondant
Dans une capitale paralysée par une tempête de neige historique, George Bush a reçu, lundi 17 février, la présidente de la République de Lettonie. De cet entretien, Vaira Vike-Freiberga est sortie convaincue que le président américain est décidé à aller vite pour déclencher une opération militaire contre l’Irak. Saddam Hussein doit désarmer, "nous allons nous en occuper, nous allons le faire", a dit M. Bush à sa visiteuse. La Lettonie fait partie des dix pays d’Europe centrale et orientale qui ont apporté leur soutien à la politique américaine face l’Irak. Selon Mme Vike-Freiberga, les événements ne vont pas tarder à s’accélérer.
De fait, la résolution à laquelle travaillent les Etats-Unis et la Grande-Bretagne pourrait être présentée au Conseil de sécurité mercredi, après la session ouverte au cours de laquelle doivent s’exprimer, mardi et mercredi, des pays non membres du Conseil. Le même jour, M. Bush s’entretiendra, à Washington, avec Lord Robertson, secrétaire général de l’OTAN. Samedi 22 février, il recevra dans son ranch de Crawford, au Texas, le président du gouvernement espagnol, José Maria Aznar. Une conférence de presse commune lui permettra de montrer qu’il agit en concertation avec un dirigeant européen autre que Tony Blair.
CRITIQUES DةMOCRATES
Selon le Washington Post de mardi, la dernière ligne droite diplomatique, avant l’action militaire, ne devrait pas dépasser deux semaines. Ce serait donc à la fin de ce mois que M. Bush adresserait à Saddam Hussein un ultimatum, lui enjoignant de livrer ses armes interdites avant une certaine date, faute de quoi les Etats-Unis et leurs alliés attaqueraient l’Irak. La période de nouvelle lune du début mars, privilégiée par les experts militaires, pourrait alors être mise à profit pour procéder à des bombardements de nuit. Ce calendrier ne tient pas compte, toutefois, des difficultés causées aux militaires américains par la Turquie, qui a refusé, lundi, de permettre l’utilisation de ses bases pour lancer une offensive sur le nord de l’Irak. Ce refus va obliger le Pentagone à s’appuyer davantage sur des forces navales qui ne sont pas encore arrivées dans la région.
Les intentions américaines concernant l’Irak pourraient être contrariées, aussi, par la Corée du Nord, qui menace, maintenant, de répondre à un embargo éventuel par la dénonciation du cessez-le-feu de 1953. La politique du gouvernement Bush est l’objet, sur ce point, de sérieuses critiques. Prononçant un discours de politique étrangère dans une université de l’Iowa, Howard Dean, ancien gouverneur du Vermont et candidat aux primaires démocrates, a accusé l’exécutif républicain d’agir, vis-à-vis de Pyongyang, avec pour souci principal de se démarquer de la politique de Bill Clinton. M. Bush et ses ministres "ne se considèrent pas comme des négociateurs, mais comme des preempters", a déclaré M. Dean, en faisant allusion à la doctrine dite de guerre préventive (preemption, en anglais), dont se réclament M. Bush et son ministre de la défense, Donald Rumsfeld. Washington refuse de discuter avec les dirigeants nord-coréens et veut obtenir de la Chine et de la Russie qu’elles acceptent de saisir le Conseil de sécurité de la dénonciation, par Pyongyang, du traité de non-prolifération et de la reprise de son programme nucléaire.
L’Iowa est important pour la désignation du candidat démocrate à la présidentielle. Les électeurs démocrates de cet Etat, qui comptent beaucoup de membres du mouvement syndical, se prononceront en janvier 2004. L’AFL-CIO a organisé, lundi, près de Des Moines, un débat entre quatre candidats aux primaires. Les sénateurs Joseph Lieberman et John Edwards soutiennent la politique irakienne de M. Bush. Au contraire, M. Dean et un député de l’Ohio, Dennis Kucinich, l’un des animateurs de la gauche démocrate, sont hostiles à la guerre. Ils ont été, tous deux, fortement applaudis par les syndicalistes.
Patrick Jarreau
http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=125494&cat_id=3
18 février, 16h11
Irak : Washington pourrait dévoiler cette semaine une deuxième résolution
Les Etats-Unis pourraient dévoiler cette semaine une deuxième résolution destinée à rendre effectif l’ultimatum imposé à l’Irak sur son désarmement par la résolution 1441 de l’Onu du 8 novembre, a déclaré mardi la Maison Blanche.
Il s’agira d’une "résolution relativement simple, pas très longue", a précisé le porte-parole de la Maison Blanche, Ari Fleischer, qui a indiqué à des journalistes que cette nouvelle initiative pourrait être dévoilée "dès cette semaine, peut-être la semaine prochaine".
http://fr.news.yahoo.com/030218/202/321ng.html
mardi 18 février 2003, 16h04 |
Elargissement : Chirac confirme les craintes de la France
BRUXELLES (AFP) - Le président Jacques Chirac, en fustigeant à Bruxelles les anciens pays de l’Europe communiste qui aspirent à entrer dans l’Union européenne (UE), a confirmé les craintes de la France vis-à-vis de l’élargissement, dont elle redoute les conséquences pour une Europe forte.
En s’alignant de façon un "peu inconsciente" sur la position américaine dans la crise irakienne, ces pays ont "manqué une bonne occasion de se taire", a déclaré lundi soir à Bruxelles le président français, à l’issue d’un sommet extraordinaire des Quinze destiné à rapprocher leurs positions après des semaines de divisions.
Celles-ci avaient été exacerbées début février par une lettre de soutien à Washington de huit pays européens, dont trois futurs membres de l’UE (Pologne, République tchèque et Hongrie), et le ralliement aux Etats-Unis de dix pays ex-communistes aspirant à rejoindre l’UE ou l’Otan.
Or, cette lettre des huit puis des dix "n’est pas passée", explique mardi un diplomate français, qui souligne que les propos de M. Chirac ne sont pas à mettre au compte de la colère, mais à celui d’une volonté préméditée de mettre clairement les problèmes sur la table.
Le ministre français des Affaires étrangères Dominique de Villepin avait donné le ton dès dimanche devant la presse en dénonçant l’initiative "maladroite" de ces pays. "Nous aurons une explication dans les prochains mois", avait-il aussi averti.
La France entend expliquer à ces pays candidats ce que signifie l’esprit de famille, tel qu’elle l’entend, et les contraintes que supposent aussi l’appartenance à cette famille, a-t-on indiqué de source diplomatique française. "L’Europe n’est pas un tiroir caisse", avait résumé dimanche le chef de la diplomatie française.
L’Europe est aussi une ambition politique, explique-t-on à Paris où le concept d’"Europe puissance" est partagé par la grande majorité de la classe politique et de l’opinion.
La France a milité "dans le sens d’une intégration européenne forte. Il faut aussi que cette intégration soit dans la philosophie des pays qui entrent", a ainsi expliqué mardi à Bruxelles la ministre française déléguée aux Affaires européennes, Noëlle Lenoir.
Dans ce contexte, l’arrivée dès l’an prochain de dix nouveaux pays, soupçonnés de favoriser l’atlantisme et de traîner les pieds vis-à-vis du projet politique européen, a toujours été envisagée avec prudence, pour ne pas dire avec réticence, par certains dirigeants français.
"La vérité c’est que tous les hommes politiques ont la trouille de l’élargissement", assurait ainsi il y a quelques semaines un diplomate français expert des questions européennes.
La France n’est d’ailleurs pas la seule à s’inquiéter du manque de loyauté parfois manifestée par les pays candidats. L’Allemagne s’est elle aussi sentie trahie par la Pologne pour qui elle n’avait pas ménagé ses efforts dans les négociations d’adhésion, relève-t-on à Bruxelles.
L’attitude des pays candidats a provoqué un "certain énervement" au sein de l’UE, a reconnu mardi le commissaire européen à l’élargissement Günter Verheugen. Il a au passage promis qu’une "telle situation ne se reproduirait plus".
De source proche de la Commission, on estime néanmoins que le choix des mots par Jacques Chirac est un peu malheureux. Les déclarations du président français sont du "pain béni" pour les eurosceptiques à l’est qui ne manqueront pas de dénoncer la prépondérance des grands pays et l’absence de liberté d’expression dans l’UE, un sujet sensible pour des pays venant à peine de se libérer du joug communiste, a expliqué cette source.
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3234—309761-,00.html
L’homme est juché sur un char d’assaut, il entre avec fracas dans le Congrès américain pour y prononcer son discours sur l’état de l’Union. Ce dessin ravageur représentant le président américain George Bush est paru en janvier dans le Florida Today. S’il n’a jamais douté qu’il pourrait le publier, sans le moindre souci, Jeff Parker souligne en riant qu’il s’étonne de ne pas avoir reçu de lettres de protestation. Il a une explication : "En Floride, il y a beaucoup de militaires retraités. Nombre d’entre eux ont vu la guerre et je ne pense pas qu’ils soient en faveur d’un nouveau conflit."
Au beau milieu de la crise irakienne, alors que les médias américains sont le plus souvent vilipendés pour leur ton va-t-en-guerre et un soutien actif à leur président, et que le débat sur l’opportunité d’une guerre en Irak s’articule autour de phrases chocs et d’images simples, les dessinateurs américains - les cartoonists - tentent de tirer leur épingle d’un jeu délicat. Ils partent du principe que toute la population américaine n’est pas pour une intervention armée en Irak : "Nous avons une matière formidable à traiter, poursuit Jeff Parker. Quand il y a des sujets de controverse, il est plus facile de travailler." Outre la crise irakienne, ils ont récemment croqué les avanies de l’économie américaine et bien sûr, l’accident de la navette américaine Columbia qui a explosé à son retour sur Terre le 1er février.
Si l’actualité est riche en événements, leur liberté de ton est parfois difficile. Depuis les attaques terroristes du 11 septembre 2001 sur New York et Washington, les cartoonists ne semblent plus à la fête. La liberté du coup de crayon n’est plus la même."La population américaine a eu besoin d’un chef dont l’image ne soit pas écornée", expliquait Kal, qui dessine pour le quotidien américain Baltimore Sun et pour le magazine britannique The Economist lors des rencontres internationales du dessin de presse qui se sont tenues à Carquefou (Loire-Atlantique) en janvier."La première fois que Bush a été moqué après les événements du 11 septembre, c’était lorsqu’il s’est étouffé avec son bretzel. Sinon, nous avons ironisé sur la sécurité des aéroports qui a mis du temps à se mettre en place et, sur des sujets périphériques qui ne concernaient pas directement le gouvernement."
Ainsi, même si aux Etats-Unis, la liberté de parole est protégée par le premier amendement de la Constitution, la liberté de ton semble être une autre histoire. Steve Benson, considéré aux Etats-Unis comme l’un des meilleurs dessinateurs politiques parle, dans un entretien accordé à The Independant on Sunday en juillet 2002, "d’une pression énorme pour nous faire suivre la ligne éditoriale patriotique que lecteurs et publicitaires ont définie". Il avoue même avoir été "menacé de mort et accusé d’être un traître". Certains dessinateurs politiques américains voient leurs dessins censurés ou publiquement décriés par des représentants de l’Etat : Mike Marland du quotidien Concord Patriot a été critiqué par Ari Fleisher, porte-parole du président Bush, pour un dessin dénonçant l’"attentat" du président américain contre le système de protection sociale.
DANS LES DEUX CAMPS
"Aujourd’hui, certains dessinateurs ne veulent pas être considérés comme étant contre Bush, ils essaient de rendre les lecteurs aussi contents que possible en essayant de prétendre que tout va bien et certains directeurs des journaux préfèrent ne pas faire de vagues afin de garder leur place", déplore Jeff Danziger, dessinateur indépendant qui souligne qu’il est vétéran du Vietnam."La francophobie actuelle développée par certains, c’est un peu bête, certains tablent sur le côté populiste", renchérit Jeff Parker."Il est vrai que les dessinateurs conservateurs, qui ne sont pas très nombreux, vendent très bien leurs production", explique l’illustrateur Daryl Cagle, qui travaille au sein d’une syndication de dessinateurs à destination de 600 organes de presse américains.
Dans ce bras de fer entre le poids d’un discours patriotique répandu et la liberté de critique, les illustrateurs sont unanimes, dès lors que leurs chefs leur font confiance, et s’ils bénéficient d’un certain prestige, ils peuvent dessiner "en toute liberté".
Certains placent même leurs caricatures dans les deux "camps", c’est un peu leur métier : "Je dessine contre Bush et contre la France", explique Daryl Cagle. D’autres supportent moins cette pression et claquent la porte. Ainsi, Art Spiegelman, le célèbre auteur de la bande dessinée Maus, traitant du nazisme, a quitté fin janvier l’hebdomadaire The New Yorker, pourtant réputé pour ses positions critiques, mais qu’il jugeait trop timides.
Alwa Deluze et Bénédicte Mathieu
Expulsion de journalistes à Bagdad et New York
Le correspondant en Irak de la chaîne américaine Fox News, Greg Palkot, a quitté son poste, lundi 17 février, sommé par les autorités irakiennes de retourner aux Etats-Unis. Le reste de son équipe est autorisé à demeurer à Bagdad. L’expulsion est une mesure de représailles. Elle intervient quelques jours après la décision des Américains de renvoyer le journaliste de l’agence de presse irakienne (INA) à New York, Mohammad Allaoui.
Celui-ci est soupçonné par les autorités américaines de faire partie des services de renseignement irakiens et de mener "des activités préjudiciables à la sécurité nationale des Etats-Unis". John Stack, vice-président pour l’information de Fox News, a annoncé qu’il ferait "tout pour que leur correspondant puisse retourner à son poste". Fox News appartient au groupe du magnat de la presse australo-américain, Rupert Murdoch. La chaîne américaine soutient la politique de la Maison Blanche dans la crise irakienne.
AP (lu sur TUNeZINE)
lundi 17 février 2003, 20h03
Jeb Bush évoque la "république" espagnole
MADRID (AP) - Jeb Bush, gouverneur de Floride et frère du président américain, a commis une gaffe ce week-end lors d’un voyage d’affaires en Espagne, qualifiant de "république" cette monarchie constitutionnelle avec pour chef d’Etat le roi Juan Carlos.
"Je veux remercier le président de la République d’Espagne pour son amitié avec les Etats-Unis. Je sais que c’est une situation difficile à court terme", a déclaré Jeb Bush, arrivé dimanche en Espagne à la tête d’une délégation de 80 industriels et entrepreneurs, afin de renforcer les relations commerciales entre l’Espagne et la Floride, où vivent de nombreux hispanophones.
Jeb Bush s’est entretenu lundi avec le Premier ministre espagnol Jose Maria Aznar, dont le gouvernement soutient une intervention militaire en Irak. Selon un porte-parole du gouvernement, les deux hommes n’ont pas évoqué le dossier irakien. Ni, apparemment, celui de la "république" espagnole... AP
II Palestine :
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3210—309720-,00.html
Jérusalem de notre correspondante
Mohammed Huda purge une peine de prison à vie, et sa maison doit être détruite. Au deuxième étage d’une habitation banale de Silwan, un faubourg de Jérusalem-Est, son appartement de quatre pièces croule sous les tonnes de ciment déversées dans des dizaines de barils par l’armée israélienne. Sur le mur extérieur, un enduit récent marque l’emplacement de la brèche par laquelle les militaires ont charrié un à un les tonneaux. Des poutrelles, posées sur toute la largeur des pièces, sont censées consolider l’édifice au poids devenu menaçant. Les voisins des Huda vivent toujours au rez-de-chaussée. Dans la crainte que l’ensemble ne s’écroule, ils passent le plus clair de leur temps dehors.
Ce jour de février, les deux enfants et l’épouse de Mohammed Huda, une femme de 27 ans à l’allure adolescente, sont installés chez la mère du condamné. Depuis quatre mois, date à laquelle ils ont appris que le gouvernement israélien envisageait de détruire leur maison, ils vont et viennent, accueillis pour quelques jours ou quelques semaines par d’autres membres de la famille. " Cela me fait mal de voir ma maison dans cet état. J’y ai vécu sept ans avec mon mari", murmure la jeune mère de famille, absente sous son voile blanc sévèrement ajusté.
Comme plusieurs dizaines d’épouses ou de parents d’activistes palestiniens, elle paye le prix de la politique sécuritaire israélienne, instaurée depuis août 2002, à l’encontre des familles de "terroristes". Pariant sur "l’effet de dissuasion", l’armée multiplie depuis cette date, avec l’accord de la Cour suprême, les destructions de maisons appartenant aux kamikazes et aux activistes emprisonnés, tués ou recherchés. "C’est un message aux terroristes signifiant qu’il y a un prix à payer pour leurs actes", souligne l’armée à chaque démolition. En six mois, quelque 150 habitations ont été dynamitées (lorsque l’environnement le permettait) ou scellées (comme dans le quartier surpeuplé de Silwan), mettant à la rue plusieurs centaines de personnes en Cisjordanie et dans la bande de Gaza.
Frappé par ces mesures "préventives", l’entourage des membres de la "cellule de Silwan", quatre militants du Mouvement de résistance islamique (Hamas) responsables de trois attentats qui l’an dernier ont fait 35 morts et plusieurs dizaines de blessés, ne croit pas une seconde à l’efficacité de cette politique. "Cela ne fait qu’attiser la haine chez les jeunes", juge le frère cadet de Mohammed Huda. "Tous les jours on voit des maisons détruites à la télé. Est-ce que cela arrête les militants ? Non. Car nous devons nous sacrifier." Mohammed Huda, peintre à l’université hébraïque de Jérusalem, a reconnu avoir déposé une bombe dans la cafétéria du campus, causant la mort de sept personnes en juillet 2002.
QUELLE LةGITIMITة ?
Rania Alabassi, l’épouse d’un autre membre de la cellule, vit avec ses trois enfants chez son beau-père depuis le scellement de son appartement. Vive et volontaire, elle ne peut réprimer un sourire en songeant à ce que la politique israélienne inspire à son mari. "Quand on fait ce qu’il a fait, on ne se préoccupe pas de savoir ce qui va advenir de sa maison", assure-t-elle. "Quand Aladin regardait la télé et voyait, chaque jour, tous les morts palestiniens, sa colère grandissait. Il n’a aucun regret pour ce qu’il a fait, il pense que c’était la volonté de Dieu. Moi, je ne lui en veux pas. Les Israéliens doivent quitter notre terre, c’est tout", conclut la jeune croyante, déterminée à attendre aussi longtemps qu’il le faudra la libération de son époux condamné à plusieurs peines de prison à vie.
"Les Israéliens ne se rendent pas compte que les destructions de maisons deviennent une routine pour les gens", explique aussi Abou Ahmad, un cousin du prisonnier. "Cela n’affecte pas notre désir de résister à l’occupation. Ils ferment une maison, nous en ouvrons une autre", ajoute-t-il un rien fanfaron. Pour l’heure, Omar, cinq mois, le dernier-né des Alabassi, campe dans le salon de son grand-père. "Personne -ni le Hamas ni l’Autorité palestinienne- ne m’a proposé de l’aide pour racheter une maison", jure Rania.
Malgré les assurances contraires de l’armée israélienne, ces punitions collectives ne semblent pas atteindre leur but dissuasif. Mais au-delà de leur efficacité présumée, c’est leur légitimité qui soulève des interrogations. Le procédé a suscité la réprobation des Etats-Unis, qui estimaient récemment que "la démolition de maisons et de propriétés aggrave la situation humanitaire et mine l’espérance et la confiance".
Ces destructions sont aussi régulièrement condamnées par les organisations israéliennes de défense des droits de l’homme, telles que B’tselem qui juge les punitions collectives contraires à la convention de Genève. Pour l’armée israélienne, elles restent une arme parmi d’autres dans sa "guerre contre la terreur".
Stéphanie Le Bars
III CRIF :
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3230—309742-,00.html
Roger Cukierman serait "sur la sellette depuis le 25 janvier", jour du traditionnel dîner du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF). C’est le magazine Actualité Juive qui l’affirme dans son édition du 13 février.
Cet hebdomadaire, proche de la droite israélienne, pose la question de manière brutale : "Qui veut la peau de Roger ?" Certainement pas le directeur d’Actu J. Dans son éditorial, Serge Benattar s’adresse au président du CRIF sur le mode lyrique : "Vous avez le courage d’afficher vos positions, la hardiesse de ne plus être consensuel, l’ardeur du combattant fort de la justesse de ses convictions !"
Qu’est-ce qui a bien pu déclencher une telle polémique ? Le soir du 25 janvier, Roger Cukierman avait dénoncé, devant le premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, "l’antisionisme" régnant, selon lui, dans les partis révolutionnaires et le mouvement antimondialisation, sous la forme d’une "alliance brun-vert-rouge" (Le Monde du 28 janvier).
Mais, davantage que ce discours, c’est la participation du président du CRIF à l’émission "Tout le monde en parle", de Thierry Ardisson, le 1er février, sur France 2, qui a semé la zizanie. Ce soir-là, M. Cukierman était confronté à Olivier Besancenot.
De l’avis général, le porte-parole de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) est sorti grand vainqueur du débat. "Devant mon poste de télévision, je me suis senti humilié, peste Alain Jakubowicz, responsable du CRIF Rhône-Alpes. Le président du CRIF n’a pas sa place dans une émission comme celle-là. Il n’en a parlé à personne avant d’y aller.""LINGE SALE"
Selon Actualité Juive, c’est cette prestation télévisée ratée qui a poussé Alain Jakubowicz à publier une tribune dans Libération(5 février), dans laquelle il prenait ses distances avec la ligne Cukierman : "Les juifs de France ont suffisamment souffert des amalgames et de la caricature pour ne pas s’y livrer à leur tour", a-t-il écrit. Et de préciser, à propos d’Israël : "Roger Cukierman a tort -de se poser- en défenseur de la politique du gouvernement israélien. Ce n’est pas son rôle."
Actualité Juive détaille par le menu la minicrise qui s’est déroulée au sein du bureau exécutif du CRIF, réuni - hasard du calendrier - le jour même de la parution de la tribune de M. Jakubowicz.
Parmi les défenseurs de Roger Cukierman, Moïse Cohen, président du Consistoire de Paris, et Jean Kahn, président du Consis- toire de France.
"Les propos tenus par Roger Cukierman lors du dîner du CRIF ont été extrêmement courageux et reflètent de manière très fidèle l’opinion de la très grande majorité de la communauté", a insisté M. Cohen.
Pour leur part, Michel Zaoui et Roger Benarrosh ont approuvé l’initiative d’Alain Jakubowicz. "Il faut abandonner l’idée que l’on devrait laver son linge sale en famille, lance Me Zaoui. Je ne peux accepter cette frilosité. Les propos de Jakubowicz, que je partage sur l’essentiel, obligent à une réflexion sur notre institution." Pour l’instant, Roger Cukierman a choisi de ne pas répondre à ces critiques.
Il y a un point sur lequel tous sont tombés d’accord : le prési-dent du CRIF n’aurait pas dû se rendre sur le plateau d’Ardisson. "Qu’allait-il faire dans cette galère ?", s’est exclamé Jo Zrihen, vice-président du CRIF.
La LCR a décidé de porter plainte. Cependant, Christian Piquet, membre du secrétariat national du mouvement trotskiste, déclare à Actualité Juive : "Roger Cukierman peut encore se rétracter. La balle est désormais dans son camp."
Xavier Ternisien
IV Tunisie :
http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=125303&cat_id=5
17 février, 18h01
Une vingtaine de jeunes gens interrogés par les services de sûreté d’Etat
Une vingtaine de jeunes tunisiens interpellés récemment à Zarzis (sud) sont actuellement interrogés par les services de sûreté d’Etat à Tunis, apprend-on lundi auprès de leur avocat.
Ces jeunes gens âgés de 18 et 22 ans, des lycéens pour la plupart, sont soupçonnés d’activités subversives sur internet, a indiqué à l’AFP Me Samir Ben Amor.
Lors de leur arrestation le 5 février dernier à Zarzis (500 km au sud de Tunis), la police a saisi et confisqué du matériel et des équipements informatiques utilisés par le groupe, dont les membres ont été transférés à Tunis pour interrogatoire par les services de sûreté de l’Etat.
Les membres du groupe vont être inculpés et traduits en justice, a ajouté l’avocat.
Selon une source de la Ligue tunisienne des droits de l’Homme (LTDH), ces arrestations seraient liées à l’utilisation d’internet et à la fréquentation de mosquées.
Cette nouvelle affaire a coincidé avec une campagne pour la libération de Zouhair Yahyaoui, un cybernaute condamné à deux ans de prison en juillet dernier.
Fondateur d’un site internet hostile au régime tunisien, Zouhair Yahyaoui a été le premier internaute à être inculpé et jugé pour diffusion de "fausses nouvelles" sur le net.
A demain