En réponse à :
3 novembre 2004, par Taïeb Smati
O peuple laborieux, étudiantes, étudiants, travailleuses, travailleurs, tunisiennes et tunisiens, le devoir national vous appelle,
Je pensais me rendre en votre compagnie ce mardi 26 octobre au palais de la république de Carthage pour la passation du pouvoir exécutif de l’ancien président BEN ALI à moi, TAIEB SMATI, nouveau président de la jeune république tunisienne.
Malheureusement tôt le matin de ce mardi 26 plusieurs agents de l’ordre s’étaient présentés devant chez moi et à la gare, (...)