En réponse à :
4 octobre 2006, par Annés El Bahri
Face au continent des droits de l’homme, de l’autre côté de la Méditerranée associée par les courants et la dérive des continents au destin de l’Europe, des hurlements de douleur surgissent des consciences muettes, affaiblies par la terreur installée dans les zones du bonheur collectif et obligatoire. Les silhouettes, en pleine lumière d’un soleil de midi doublent leur ombre et disparaissent au détour du regard insistant du délinquant obscène, qui scrute dans les pas des gens le signe de l’opposition (...)