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6 novembre 2002, par Sophie
C’est la fin de l’après-midi et durant le voyage en avion vers Tunis, tout en prenant mon premier dîner de la soirée, je converse avec mon voisin qui m’explique qu’il ne "défend pas l’indéfendable" mais que "personne ne peut l’obliger à être solidaire de gens qui choisissent une certaine voie". Il m’explique aussi que les Tunisiens ne sont pas mûrs pour la démocratie, que ce serait l’anarchie si Ben Ali ne menait pas cette politique, et qu’il ne faut pas être parano.
"Mais je le répète, je ne défends pas (...)