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23 janvier 2011, par Rédaction de reveiltunisien.org
Censure et auto-censure avaient fait des médias tunisiens les champions toutes catégorie de la langue de bois. Les journalistes réapprennent le métier d’informer.
Source L’Express
En juin 2009, un peu avant l’élection présidentielle, Neji Bghouri avait commis un crime de lèse-majesté. Elu quelques mois plus tôt à la tête du syndicat national des journalistes tunisiens, il avait publié un communiqué affichant la neutralité du syndicat vis-à-vis des candidats. Le chef de l’Etat n’avait pas supporté, et le (...)