Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Sommaire :
Partie arabe : (Al Jazeera, Al Quds Al Arabi) :
Bonne lecture !
L’attentat a fait un mort, en plus du kamikaze, et une quinzaine de blessés, ont indiqué les radios et télévisions israéliennes, citant le Magen David Adom, la Croix rouge israélienne.
L’explosion s’est produite dans l’enceinte d’une zone commerciale de Kfar Saba, une ville de la grande banlieue de Tel Aviv située à quelques kilomètres de la "ligne verte" séparant Israël de la Cisjordanie.
En outre, six Palestiniens ont été tués lundi en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, dont deux dans l’explosion d’un véhicule attribué par les Palestiniens à Israël. Un septième Palestinien blessé samedi a succombé à ses blessures.
Sur le plan politique israélien, la Knesset (Parlement) a rejeté trois motions de censures contre le gouvernement.
M. Sharon - dont le gouvernement est minoritaire depuis le retrait des travaillistes le 30 octobre - a bénéficié du soutien du "Bloc de l’Union nationale", coalition regroupant trois partis d’extrême droite qui compte un total de 7 élus, et qui négocie actuellement avec le Likoud, le parti du Premier ministre, son éventuel ralliement au gouvernement.
Les motions de censure avaient été déposées par le Meretz (gauche laïque, 10 sièges), le Shinouï (centre-droit, 6 sièges) et les partis arabes (10 sièges).
Selon la radio publique, le Meretz, le Shinouï et le Parti travailliste se sont mis d’accord pour oeuvrer afin que des élections anticipées aient lieu le 11 mars.
La Knesset a également donné son investiture au général Shaoul Mofaz, partisan d’une politique de poigne face à l’Intifada et à qui M. Sharon a confié le portefeuille de la Défense.
D’autre part, M. Sharon a implicitement repoussé lundi la condition posée par son rival au sein du Likoud, l’ex-Premier ministre Benjamin Netanyahu, pour accepter le poste de ministre des Affaires étrangères.
"Il serait "irresponsable de pousser le peuple à des élections immédiates", a affirmé M. Sharon, laissant ainsi clairement entendre qu’il rejetterait l’exigence de M. Netanyahu, qui avait été interprétée par les commentateurs comme une façon de rejeter l’offre de M. Sharon.
Bien qu’il courtise l’extrême-droite, opposée aux accords d’Oslo, M. Sharon a réitéré lundi devant le groupe parlementaire du Likoud qu’il entendait maintenir inchangé le programme gouvernemental conclu avec les travaillistes en mars 2001.
A Beyrouth, le ministre de l’Information palestinien, Yasser Abed Rabbo, a estimé que le gouvernement que M. Sharon est en train de former "sera un gouvernement de guerre".
Dans les Territoires, une nouvelle escalade de la violence a coûté la vie à six Palestiniens, tandis qu’un septième a succombé à des blessures par balles infligées samedi.
A Naplouse (nord de la Cisjordanie), deux Palestiniens, dont un responsable local de la branche armée du mouvement islamiste Hamas, ont été tués dans l’explosion de la voiture à bord de laquelle ils circulaient.
Les Palestiniens ont accusé Israël d’être à l’origine de cette incident, que le dirigeant palestinien Saëb Erakat a qualifié de "crime de guerre".
Trois Palestiniens ont été tués par les forces israéliennes avant l’aube à la limite entre la bande de Gaza et Israël, non loin d’un kibboutz israélien. A Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, un Palestinien de 24 ans membre de la sécurité nationale a été tué par des tirs de soldats.
A Khan Younès, quatre autres Palestiniens, dont un enfant de cinq ans, ont été blessés par des tirs de chars israéliens.
En outre, deux hélicoptères de l’armée israélienne ont lancé trois roquettes contre une zone industrielle de l’est de Naplouse, ont rapporté des témoins palestiniens.
Les morts de lundi ont porté 2.642 le nombre de personnes tuées depuis le début de l’Intifada fin septembre 2000, dont 1.955 côté palestinien et 638 côté israélien.
D’autre part, dans un rapport publié lundi, l’organisation de défense des droits de l’Homme Amnesty International a accusé Israël d’avoir perpétré des "crimes de guerre" lors d’opérations menées au printemps à Naplouse et dans la ville voisine de Jénine.
L’armée a répliqué en affirmant qu’"Israël a exercé son droit élémentaire à l’auto-défense en s’attaquant à l’insfrastructure terroriste" palestinienne dans ces deux villes.
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3210—296791-,00.html
Jérusalem de notre correspondant
Les grandes et petites manœuvres politiques sont de retour en Israël depuis le départ des travaillistes, le 30 octobre, de la coalition gouvernementale que dirige Ariel Sharon. Ce dernier a décidé en effet de gagner du temps et de ne pas précipiter les élections anticipées auxquelles il semble pourtant acculé. Il espère ainsi opposer son sens de la responsabilité devant les urgences économique et sécuritaire auxquelles le pays est confronté face aux calculs politiques de ses rivaux, à gauche comme à l’intérieur du Likoud.
Le premier ministre a réussi une première contre-offensive en obtenant le soutien de l’ancien chef d’état-major israélien, Shaul Mofaz. Ce dernier n’a jamais fait mystère de ses opinions politiques, qui le classent à droite. Il a par ailleurs défendu activement la manière forte contre les Palestiniens depuis le début de la seconde Intifada. M. Mofaz a fait savoir, samedi, qu’il acceptait de rejoindre le gouvernement de M. Sharon, pour y occuper le portefeuille de la défense, laissé vacant par le chef du Parti travailliste, Benyamin Ben Eliezer. Sa candidature devait être soumise, lundi 4 novembre, à l’approbation préalable de la Knesset, compte tenu du trop court laps de temps qui a séparé son départ de l’état-major, en juillet, de son entrée précipitée en politique.
Pour remplacer au ministère des affaires étrangères le travailliste Shimon Pérès, M. Sharon n’a pas hésité à se tourner vers son rival le plus déterminé au sein de son parti, le Likoud, l’ancien premier ministre Benyamin Nétanyahou. Les deux hommes doivent en effet s’affronter avant la fin de l’année pour savoir qui dirigera la liste de la droite nationaliste pour les prochaines élections. M. Sharon a espéré pouvoir profiter de l’occasion pour prendre l’ascendant sur M. Nétanyahou. Devenu ministre, soumis hiérarchiquement à M. Sharon, ce dernier perdrait dans les faits sa liberté de parole et de critique.
Le premier ministre a placé son prédécesseur dans un bref embarras. S’il ne peut être question pour lui de se lier les mains alors qu’il rêve de retrouver le pouvoir, M. Nétanyahou sait que le fait de refuser de donner suite à cette invitation risque de le faire apparaître comme plus soucieux de ses projets personnels que du bien du parti et du pays. L’ancien premier ministre a donc choisi rapidement d’accepter, en avançant des conditions, la première étant un engagement de M. Sharon de provoquer au plus vite des élections anticipées. Dans ce cas de figure, la nouvelle équipe mise sur pied par M. Sharon ne serait qu’intérimaire et elle se limiterait alors à expédier les affaires courantes. Le coût politique, pour M. Nétanyahou, serait donc minime. L’entourage de M. Sharon a réagi à la parade en se félicitant de cet accord de principe et en assurant que les conditions étaient à l’étude.
LE SOUTIEN DE L’EXTRتME DROITE
Car, parallèlement à ces tractations florentines, M. Sharon s’efforce toujours d’élargir sa coalition. Il ne peut compter actuellement que sur 55 des 120 sièges de la Knesset, et, pour éviter d’avancer le retour aux urnes, prévu théoriquement en octobre ou novembre 2003, le premier ministre israélien a besoin du soutien de l’extrême droite.
Deux cas de figure sont possibles. Soit il parvient à inclure celle-ci dans la coalition, ce qui lui assurerait une majorité absolue au Parlement, soit il parvient à la neutraliser en empêchant qu’elle joigne ses voix à la gauche, aux antireligieux du Shinoui et aux partis arabes israéliens pour renverser son gouvernement, comme cela devait être le cas, lundi, à l’occasion de la discussion d’une motion de censure.
Gilles Paris
"Crimes de guerre" à Jénine et à Naplouse
L’organisation de défense des droits de l’homme Amnesty International accuse l’armée israélienne d’avoir commis des "crimes de guerre" lors d’opérations menées au printemps à Naplouse et à Jénine, dans le nord de la Cisjordanie. Dans un rapport publié lundi 4 novembre, Amnesty affirme qu’entre avril et juin, lors de son opération "Rempart", l’armée israélienne a tué des civils, torturé des prisonniers, utilisé des civils comme boucliers humains, détruit des maisons et empêché l’acheminement d’aide humanitaire et médicale aux Palestiniens.
Certains actes de l’armée israélienne décrits dans le rapport relèvent de graves violations de la 4e convention de Genève et constituent des crimes de guerre, estime Amnesty. Israël doit assumer la responsabilité de ces actes et coopérer en ouvrant une enquête sur le comportement de l’armée pendant l’offensive baptisée "Rempart", lancée le 29 mars en représailles à une vague d’attentats-suicides anti-israéliens, affirme le rapport de l’organisation non gouvernementale. - (AFP.)
II Al Jazeera indésirable au Koweït :
III Reuters en dfficulté :
Londres de notre correspondant à la City
Carnets de commandes dégarnis, multiplication des résiliations d’abonnements : Reuters, numéro un mondial de l’information financière, va mal. Les sombres prévisions émises pour le second semestre et la chute du cours de l’action jusqu’à son niveau le plus bas depuis une décennie soulignent les difficultés d’une entreprise trop sûre d’elle, qui n’a cessé de perdre des parts de marché depuis cinq ans. L’entreprise vient d’annoncer une baisse de 7 % de son chiffre d’affaires pour le troisième trimestre.
Les difficultés de Reuters sont conjoncturelles, structurelles et concurrentielles. Premièrement, la chute des transactions boursières a entraîné la suppression de nombreux abonnements : le nombre d’écrans installés dans les salles de marché est en baisse, et les banques revoient à la baisse leurs frais de fonctionnement.
Le succès de l’euro a également réduit l’activité du négoce des devises, traditionnelle vache à lait de Reuters. Le choc est rude pour une institution qui tire aujourd’hui 90 % de son chiffre d’affaires des opérations de courtage électronique.
Deuxièmement, Reuters paraît souffrir d’un mauvais positionnement. Selon les experts, si le contenu (textes, télévision, photos, graphiques...) reste son point fort, l’agence se concentre trop sur la haute technologie au détriment du service à la clientèle. La multiplication des produits disponibles – plusieurs centaines – et une gamme de prix trop étendue entraînent des problèmes d’intendance.
Reuters doit enfin faire face à une rude compétition. Son rival américain, Bloomberg, connaît un développement prodigieux. Créée par l’actuel maire de New York, Michael Bloomberg, cette firme privée contrôle aujourd’hui 37 % du marché, quand Reuters en détient 46 %. "En période de prospérité, une banque peut se payer un abonnement à Reuters et un à Bloomberg, résume un observateur. Aujourd’hui, il faut choisir. Le grand banquier ne peut pas se passer du premier, mais le jeune courtier de base trouve le second plus aisé à manier, plus rapide." Bloomberg a eu l’intelligence de proposer une machine unique à un seul prix. La décrue des marchés a rendu la concurrence d’autant plus féroce que, à l’ombre des deux grandes agences, des petites structures réclament leur part du gâteau en proposant une offre plus ciblée.
Malgré la mauvaise passe que traverse Reuters, personne, dans la City, ne conteste le bien-fondé de la stratégie du directeur général, Tom Glocer, pour tenter de sortir l’agence de l’ornière. La remontée récente de l’action souligne ce consensus. Plus de 2 000 emplois ont déjà été supprimés par "Tom the Knife" (Tom le Couteau), qui s’est engagé à continuer à faire des économies (Le Monde du 19 octobre 2001). D’autres suppressions d’emplois, y compris dans l’état-major, sont prévues.
Parallèlement à cette compression des frais généraux, M. Glocer a réorganisé Reuters en une structure plus tournée vers le client, composée de quatre branches : banque d’investissement, taux et change, gestion d’actifs, entreprises et médias. Pour casser les féodalités, un mode de direction vertical a été imposé. Une kyrielle de sociétés de diversification, lancées dans la foulée de l’explosion des sociétés œuvrant sur Internet, et une partie du parc immobilier ont été vendues. "M. Glocer a réussi à recentrer ce qui est devenu une nébuleuse de compagnies hétéroclites sur le métier de départ : l’information financière. Il devrait réussir cette opération de restructuration, car les fondations de Reuters sont solides", reconnaît un analyste de WestLB Panmure.
Reste que, devant cette crise majeure frappant la maison fondée en 1851, les appétits s’aiguisent. Si la golden share détenue par le Reuters Trust protège le groupe contre une opération publique d’achat hostile, rien n’écarte la possibilité d’une fusion "amicale" avec des prédateurs en quête d’acquisitions, comme l’important éditeur scientifique anglo-néerlandais Reed-Elseviers ou la société d’informations financières Thomson Financial, voire des groupes de capital-risque.
Marc Roche
230 bureaux dans le monde
Chiffre d’affaires 2001 : 3,885 milliards de livres (6,5 milliards d’euros).
Bénéfices avant impôts 2001 : 158 millions de livres, contre 657 millions de livres en 2000.
19 000 employés, dont 2440 journalistes disséminés dans 230 bureaux dans le monde.
Quatre marchés : taux et change (1,054 milliard de livres) ; banque d’investissement et courtage (858 millions) ; gestion d’actifs (655 millions) ; médias et entreprises (475 millions).
Introduction en Bourse : 1984.
IV Des journalistes reconnaissants :
Information — Mesures présidentielles
Gratitude et considération de l’AJT au Chef de l’Etat
Le bureau de l’Association des journalistes tunisiens (AJT) a exprimé sa gratitude et sa considération au Président Zine El Abidine Ben Ali pour la sollicitude personnelle qu’il témoigne aux journalistes, pour son soutien moral et matériel à l’association et à ses programmes et pour ses initiatives continues en faveur de la promotion de la presse tunisienne.
Le bureau de l’association a également, dans une déclaration qu’il a rendue publique, pris acte, avec satisfaction, de la mise en application des mesures présidentielles importantes relatives à la régularisation de la situation des journalistes pigistes travaillant dans un certain nombre d’institutions nationales de presse, en particulier à l’Etablissement de la radio-télévision tunisienne, dans les radios régionales et aux quotidiens Al Horria et Le Renouveau.
A demain