Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
"Le Haut Commissaire des Droits de l’Homme intervient dans le débat et met les accents sur les i"
par : Abdel Wahab Hani
Après le froid qu’ont jeté les déclarations fracassantes de l’Ambassadeur négationniste Mansour, Représentant permanant de la dictature à Genève, le Haut Commissaire aux Droits de l’Homme, rappelle "le rôle importnat des Rapporteurs Spéciaux et l’aspect vital et courageux de leurs efforts". Le brésilien Sérgio Vieira De Mello s’exprimait vendredi 25 avril 2003, à la séance de clôture de la 59e session de la Commission des Droits de l’Homme. Le Haut Commissaire a rappelé l’imoprtance des travaux de cette instance, tout en rappelant le poids des textes votés, entre autres, au sujet des Défenseurs des Droits de l’Homme, de l’Impunité et de la Torture. Dans son discours, le Haut Commissaire a aussi essuyé les critiques de "politisation", en rappelant que ce terme n’a pas lieu d’être dans les travaux de la Commission, surtout que "les délégués sont eux mêmes employés par des gouvernements", avant de lancer un appel solonnel : "Parfois, les délégués perdaient de vue ce noble but, de protection des droits de l’homme, qui est la raison d’être de la Commission des droits de l’homme".
Sans citer l’Ambassadeur négationniste Mansour qui s’en est pris violemment à la Représentante Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies sur les Défenseurs des Droits de l’Homme, les déclarations de la Commission puis du Haut Commissaire sont un camouflet pour la diplomatie de Ben Ali. L’Ambassadeur négationniste avait critiqé un rapport "trop politisé" et une méthode de travail non appropriée et des conclusions non avenues. Il avait ensuite chargé le chef de la Délégation suisse, l’Ambassadeur Devigny, pour son soutien aux conclusions de la Représente Spéciale et "ses inquiétudes face à la détériration des défenseurs face à leur situation, dans un certain nombre de pays, parmi lequels lse trouve la Tunisie".
L’Ambassadeurr négationniste s’est distingué par ses affirmations mensongères, niant la réalité, affirmant que "le terme de prisonnier politique n’existe pas en Tunisie", avant d’ajouter : "Nous n’avons pas de prisonnier politique en Tunisie". Ces déclarations contrastaient avec les Rapports des Rapporteurs Spéciaux et des Mécanismes spécialisés de protection des droits de l’Homme. La situation alarmante en Tunisie a ainsi été évoqué à maintes reprises dans nombre de Rapprots présentés à la Comimission. Et deux Rapporteurs ont soulevé, dans leurs brèves déclarations orales, la situation alarmante en Tunisie. Dans des termes très diplomatique, Le Rapporteur Spécial sur la Torture, avait fait part de "son souhait d’entreprendre des visites à un huit pays, parmi lequels la Tunisie", avant d’être épaulé par la Représente Spéciale du Secrétaire Génaral des Nations Unies sur les Défenseurs des Droits de l’Homme qui a exprimé ses proccpations face à la situation des droits de l’Homme en Tunisie.
L’Organisation Mondiale Contre la Torture (OMCT) et la Commission Internationale des Juristes (CIJ) avaient bien portées "la question tunisienne" dans les réunions de la Commission, après avoir organisé une réunion d’infroramation, dans laquelle la CIJ a présenté son Rapport sur la Décénnie des Viloations des Droits de la Défense, des Dysfonctionnement du Système Judiciare et des Atteintes à l’Indépendance de la Justice en Tunisie. Plusieurs autres ONG et personnalités ont fait un bon travail de lobbying dans les couloirs du Palais des Nations à Genève.
La présence des défenseurs tunisiens a été trop faible quantitavement, mais d’une très grande qaulité. Nos valeureux avocats : Me Mokhtar Trifi, président de la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme (LTDH), Me Radhia Nasraoui, membre du Consiel des Délégués de l’OMCT et Me Néjib Hosni, porte parole du Conseilm National pour les Libertés en Tunisie (CNLT) et, Docteur Honoris Cosa de l’Université Dikinson, Lauréat du Peix Ludovic Trarieux et Adminstrateur de l’APT, arpontaient les couloirs et dominaient les préchoires qui leur ont été ouvert. Le premier, invité de la Commission Internationale des Juristes (CIJ), la seconde, invitée de l’Organisation Mondiale Contre la Torture (OMCT) et le troisième, de l’Association pour la Prévention de la Torture (APT).
Cette dernière avait tenue son Conseil Consutatif aux marges de la 59e session de la Commission. A l’ordre du jour, un débat aux anti-podes des pratiques dans prisons : "Le protocole additionnel de la Convention des Nations Unies contre la Torture : Défit pour la suisse et son système de visite des prison", et "Les initiatives de prévention de la torture effectuées dans un environnement répressif, dans un Etat non coopératif, sont elles possibles ?". Et Me Hosni avait brillé par son calme, sa détermination et sa rigeur face aux obstacles à surmonter. L’assistance a pu se rendre compte des conditions d’action des défenseurs tunisiens. Elle a bien mesuré le grand défit que posent les régimes, type Ben Aliste, à la communauté internationale.
Mais la grande lacune est que les ONG indépendantes tunisiennes n’avaient pas la possibilité de partciper aux travaux de la Commission. Et pour cause : Seules pouvaient avoir "l’accréditation" et pénétrer l’enceinte du Palais des Nations, les ONG ayant le Statut Consultatif, auprès du Conseil Economique et Social des Nations Unies. Les 21 associations tunisiennes qui l’ont sont acquise à la Dictature. La Tunisie avait profité de la Présidence du Comité des Accréditations des ONG à New York pour bombarder les "amis" et évincer les "ennemis". Plusieurs ONG internationales respectables avaient essuyé les soupçons et les méthodes de la dictature de Ben Ali : Terrorisme, lit du fanatisme, manipulation par les extrémistes, membres barbus... wa haat mak ellawi (et plein de critiques dans ce jargon là).
On y trouve dans ces "accrédités" tunisinnes : Mme Agrébi (El Agrouba Essahlouba, selon la formule célèbre de Oum Ziad, la journaliste repsonable de l’Information du CNLT et SG du Congrès Pour la République CPR), El Agrouba est célèbre pour son "rôle" de députée de la dictature et de "présidente" de l’Association Tunisiennes des Mères (ATM), qui "loue l’humanisme du président Ben Ali". Cette créature est une ruprise de justice, condamnée pour proxénétisme et plusieurs fois l’objet de mesures judiciaires d’assignation, hors capitale et grandes villes. Avec l’avénement de "l’ère nouvelle", les mesures d’assignation sont levée, la ruprise de justice réhabilité et la proxénéte fut bombardée député et svp présidente d’une Association des Mères. La dictature voulait tout travestir et détruire.
On y trouve aussi les avocats de "la cellule", trop actifs dans l’Association Tunisienne des Droits de l’Enfant (ATDE) et leur chef d’orchestre, un certain Habib Achour, qui ne parle point des enfants ni de leurs droits, mais qui est plus explicite dans son mandat : "Au nom de la liberté et des droits de l’homme, les extrémistes (entendre les opposants, NDLR) trouvent toujours des défenseurs. Ceux-ci s’empolient à les présenter au monde et aux peuples comme des démocrates et des humanistes. Les victimes de cette démarche sont finalement et essentiellement les occidentaux, qui croyant protéger des démocrates, dans l’ignorance de leur véritable identité, finissent par payer le prix très cher". La messe est donné et tout est bon pour faire venir les propagandistes du régime, aux frais du contribuable tunisien. Certains se déplacent même avec un passeport diplomatique. Ces GONGOs ont soulevé un tollé auprès des grandes ONG internationales, de la presse accréditée à Genève, ainsi que la stupeur des délégations des pays qui se respectent.
Mais le comble fut les déclarations mensongères du juriste Slim, au nom du Conseil Supérieur des Droits de l’Homme de Ben Ali. Ce juriste qui sait, mieux que personne, utiliser le double langage pour mieux raffler les subventions et les programmes d’assistance technique des Nations Unies. Programmes qui ont servi à financer les déplacements et la "formation" du monstre Youssef Néji, récemment intronisé Gouverneur de la Manouba, banlieue Nord-Ouest de Tunis. Néji occupait le poste de "Responsable de la cellule des DH du Ministère de l’Intérieur", représentait ce dernier au Conseil Supérieur, après avoir dirigé les traveaux du "Bureau des Analyses Politques" au même Ministère ! vrai clone de son supérieur Kallal, plusieurs fois ministre, repris de justice internationale pour crime de torture et assurant actuellement l’Intérim au Ministère de la Défense de Ben Ali.
Mais, après les déclarations solonnelles de la Commission et du Haut Commissaire, l’Ambassaduer négationniste et sa délégation, doivent prendre les décisions qui s’imposent. En bon diplomate, le fonctionnaire doit alerter ses supérieurs à Tunis de l’echec de sa stratégie et de celle de son régime. Il doit en appeler à la sagesse de ce denier qui doit garantir le respect effectif et la protection efficace des droits de l’homme en Tunisie et d’arrêter de nier ce qui est devenu l’évidence même. Après la 59e session, il doit affronter d’autres échéances plus agréables pour les serviteurs de la Vérité, de la Liberté et de l’Humanité, mais terriblement désagréables pour les agents de la dictature et les chantres de la Négation de l’être. Des surprises sont dans l’air...
Après avoir jouer la Négation, Hatem Ben Salem, le prédécesseur de Habib Mansour, avait conclu à l’impossibilité de sa mission, en demandant son "rapatriement" à Tunis, où il occupe le poste, de "semi vice-ministre", à la bizarre dénomination de "Coordinateur Général des Droits de l’Homme au Ministère de la Justice et des Droits de l’Homme". On ne se bouscule pas chez les Diplomates tunisiens.
Genève est une ville libre, les tunisiens de Genève, de la Diaspora et de l’Intérieur le sont aussi.
Est-ce que c’est compris Monsieur l’Ambassadeur, choisissez votre camp avant qu’il ne soit trop tard : Le peuple ou le tiran, la liberté ou l’asservissement, la dignité ou le déshonneur...
Roissy en France, le 28 avril 2003 Abdel Wahab Hani
Compte rendu officiel de la séance de clôture de la Commission des droits de l’homme 59ème session, Palais des Nations, Genève, 25 avril 2003, Après-midi
Dans sa déclaration de clôture, le Haut Commissaire aux droits de l’homme salue le rôle « vital et courageux » des Rapporteurs spéciaux
Déclarations de clôture "Dans son allocution finale à la Commission des droits de l’homme, M. SةRGIO VIEIRA DE MELLO, Haut Commissaire aux droits de l’homme, s’est d’abord félicité du succès, de par le nombre important des dignitaires qui y ont participé, de la session de haut niveau qui a inauguré les travaux de cette session de la Commission, et qui a confirmé le rôle central de la Commission pour le trouver des consensus autour des droits de l’homme. D’autre part, le travail des Rapporteurs spéciaux, ainsi que des autres procédures spéciales, est particulièrement important aux yeux du Haut Commissaire, qui a qualifié leurs efforts de « vitaux et souvent courageux ». De même, les institutions nationales ont pris cette année une place plus importante dans les travaux de la Commission, reflétant leur rôle déterminant et le rôle croissant qu’elles prennent dans la promotion des droits de l’homme. Peut-être conviendrait-il, a suggéré le Haut Commissaire, que les institutions nationales et les Rapporteurs spéciaux puissent s’exprimer plus tôt dans la session, afin qu’ils reçoivent l’importance et l’attention qu’ils méritent.
La Commission a négocié et adopté une quantité impressionnante de résolutions, notamment de résolutions thématiques. Des textes importants ont été adoptés sur les défenseurs des droits de l’homme, l’égalité des droits des femmes en matière de propriété foncière et de logement, la bonne gouvernance ou encore l’impunité et la torture. L’état de droit a été renforcé par une résolution sur l’indépendance du pouvoir judiciaire. ہ côté de ces succès dont il faut se réjouir, il faut aussi relever des échecs, c’est pourquoi il s’agira maintenant de s’efforcer d’atteindre à une plus grande unité dans le traitement des droits de l’homme. ہ cet égard, l’expérience montre que mieux l’on prépare les résolutions, plus elles sont efficaces. Il faut donc consacrer plus de temps aux consultations avant les sessions de la Commission, ce qui permettra de limiter les débats et les efforts gaspillés. De la même manière, il convient d’améliorer les procédures de suivi des résolutions adoptées par la Commission et l’Office du Haut Commissariat cherchera des mesures qui garantiront que ces mesures ne restent pas lettre morte.
M. Vieira de Mello a aussi relevé une source de préoccupation pour la Commission, à savoir un manque d’ouverture et de franchise. La « politisation » et ses termes dérivés devraient ainsi être rayés du vocabulaire de la Commission, et ne serait-ce que parce que la plupart des personnes qui participent à ses travaux sont eux-mêmes employés par des gouvernements. Cette accusation n’a de fait plus grand sens et la Commission ne perdrait rien à employer un langage plus direct, langage qui permettra vraiment de renforcer les droits de l’homme. Autre abus de langage, le retour périodique des prétendues « dénonciations traditionnelles », qui seraient la marque de la Commission et dont il est beaucoup question dans les conversations informelles, devrait en fait inciter la Commission à les considérer avec d’autant plus d’attention. Le Haut Commissaire a aussi déploré que la Commission n’ait pas toujours su trouver un langage commun, et qu’elle s’est parfois presque félicitée de n’être pas parvenue au consensus, voire à pratiquer la politique du pire. Et, s’il n’y a rien de plus sérieux que la protection des droits de l’homme, le Haut Commissaire a dit son sentiment que, parfois, les délégués perdaient de vue ce noble but qui est la raison d’être de la Commission des droits de l’homme.
Mais ces difficultés sont surmontables, a estimé M. Vieira de Mello, car les structures de la Commission des droits de l’homme sont saines. Les résultats s’améliorent en effet, et l’acceptation de l’importance des droits de l’homme gagne du terrain. La responsabilité de protéger les droits de l’homme, qui doit être endossée aussi bien par les ةtats que par la communauté internationale au sens large, est maintenant vue comme un aspect central de l’état de droit. Les droits de l’homme prennent donc une importance sans cesse croissante et le Haut Commissaire a enfin tenu à saluer ici les cinq ةtats qui ont accepté à leur tour de lancer des invitations ouvertes aux procédures spéciales de la Commission."
Source : http://www.unhchr.ch