En réponse à :
28 mai 2003
C’est ainsi qu’on pourrait résumer l’attitude de certaines personnalités de l’opposition tunisienne. Cette conduite était flagrante dans l’affaire Béchir Ferchichi et Maher Osmani pour devenir aujourd’hui une règle avec l’agression de Tahar Labidi : nier toute victime dont l’agression par le régime n’est pas rendue publique par les tenants du pré-carré. La technique de dissuasion est presque toujours la même, semer le doute et minimiser l’affaire une fois qu’elle est devenue publique.
Une semaine après (...)