En réponse à :
1er février 2007, par Moncef Marzouki
Lu sur Tunisnews
Ce qui était le plus redouté a fini par se produire : la Tunisie a basculé dans la violence armée. Il ne fallait pas être un grand devin pour prévoir ce qui est arrivé. Posez au plus inexpérimenté des politiciens la question suivante : qu’advient-il dans un pays dont le président pratique une politique de corruption à ciel ouvert, de répression tous azimuts, de refus systématique de toute réforme, de mépris pour le peuple, d’aveuglement, d’orgueil et d’injustice ?‚ Il vous dira : « mais (...)