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21 octobre 2004, par Derbali
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Avant que la mort ne m’emporte, avant que la camarade ne me fauche avec sa grande faux de la justice divine ; avant que cette justice divine et humaine nous dégomme la gueule, la stature et jusqu’à votre souvenir de l’horreur et de l’arbitraire ténébriste et barbare. Avant que l’une ou l’autre ne me rendent aux miens et qu’importe que ce soit sur un cheval ou un linceul blanc, j’ai fait mon deuil depuis le vagissement des turpitudes inconstantes et de la (...)