En réponse à :
30 juin 2004, par Rédaction de reveiltunisien.org
A l’approche des élections législatives et présidentielles d’octobre 2004, les autorités tunisiennes sont en train de fournir la preuve aux sceptiques qu’elles ne comprennent que le langage de la force. Les conditions d’élections libres et crédibles et encore moins les conditions d’une citoyenneté digne et épanouie ne figurent pas sur l’agenda de Ben Ali et de son parti.
Ceux qui, naïvement, ont nourri l’espoir de voir l’été se présenter sous le signe de la détente et la décrispation et peut-être même la (...)